About Us – Classic

Connecter les Humains

« Le visage étant pour moi le plus beau des paysages » JP Duvergé

Ma Mission

Bordelais d'origine, je vis à Cergy depuis 1981. J'ai appris la photo par moi-même, il y a 50 ans au temps de l'argentique. Ensuite, j'ai arrêté de faire des images pour me consacrer à ma carrière professionnelle. Enfin, la passion ne s'éteignant jamais vraiment, j'ai recommencé en 2014 lors d'un voyage au Pérou. L'Inde du sud, le Vietnam, l'Inde du nord, le Népal, l'Ethiopie, la Malaisie, le sud des Etats-Unis ont suivi souvent en fonction des expositions à travers le monde. Mais on peut aussi voyager chez soi, preuve en est ma série "Cergy's Faces: une banlieue française" qui comprend 1200 portraits aujourd'hui. Ma démarche est essentiellement documentaire et orientée vers la représentation humaine. Le visage étant pour moi le plus beau des paysages.

Retracer l'Histoire

Je poursuis la beauté de la nature et de ses paysages pour me perdre de pays en pays, en retraçant et documentant l'Histoire de ses peuples.

Supports de Qualité

Pour ce premier livre Photo, nous nous sommes appliqué afin de livrer la meilleure qualité d'impression et photo possible.

Mieux que sur un écran

Que ce soit sur papier photo, livre ou sur des plaques de métal, retrouvez mes œuvres avec le vrai grain, l'âme de la photo.

Jean-Pierre Duvergé a su saisir le caractère de chacune et chacun pour évoquer toute la diversité culturelle de cet immense pays sans misérabilisme ni idéalisme. Ce n’est pas une Ethiopie éternelle, figée dans ses traditions. En dépit des discours habituels et simplistes, cela n’existe pas. L’eau courante n’est certes pas disponible partout, pas plus que l’électricité, mais les téléphones portables, internet, les réseaux sociaux ont fait leur entrée dans la vie des gens, jusque dans les campagnes les plus reculées. C’est cette Ethiopie-là qui est aujourd’hui menacée. Le modèle éthiopien, reposant sur une cohabitation apaisée du christianisme orthodoxe et de l’islam, sur un fédéralisme régional, est en crise. Et on ne peut qu’espérer que ces photos ne soient pas les vestiges d’une insouciance disparue.
Marie Laure Derat
Marie-Laure Derat
directrice de recherches au CNRS